“Nous avons l’art, afin de ne pas mourir de la vérité.”                                                                            
                                                                                   Friedrich Nietzsche
   Peintre autodidacte, passionné depuis l’âge de 12 ans autant par la musique que par les arts graphiques, Jean-Luc Labrette s’est très vite orienté vers la carrière professionnelle.
    Délaissant le monde de la publicité malgré de nombreuses demandes au profit de la sincérité d’expression et de sa  liberté, abandonnant très tôt toute envie figurative pour lui préférer l’abstrait, il s’est dès lors intéressé aux couleurs, aux matières et aux textures de tout ordre, tant dans l’observation, la restitution, que pour la réalisation de ses toiles (sable, tissus, papiers, colle etc... ), d’où ces mélanges savants et indéfinissables qui donnent à sa peinture un relief aussi intrigant que fascinant. 
    Après une longue période consacrée à la photographie pendant laquelle il a surtout travaillé sur l’utilisation de la lumière et ses effets tout en s’attachant au détail visuel et organique, il est revenu à la peinture en 1992 pour atteindre une maturité aujourd’hui reconnue et admirée de tous.
   Son style très affirmé, caractérisé par le rythme, le dynamisme, le mouvement, le conflit des obliques et la luminosité, lui a valu d’être référencé par ArtPrice (leader mondial de l’information sur le marché de l’art en ligne), Akoun et la Galerie Meyer-Oceanic Art.http://web.artprice.com/myartprice.aspx?l=frhttp://www.akoun.com/?gclid=CNDriofipIsCFQEwlAodUCwIhwhttp://www.galerie-meyer-oceanic-art.com/shapeimage_2_link_0shapeimage_2_link_1shapeimage_2_link_2
  Il est certains artistes qui, après un parcours profondément classique, soit subliment les règles jusqu’à leur transcendance, soit peu à peu s’effacent dans le confort mondain de leur académisme, dans la sécurité de bien des certitudes, dans la facilité de leurs chères habitudes et de tous leurs clichés. . 
    Et puis il y a ceux qui, fuyant les honneurs et les chemins tracés (“Debussy n’obtint aucune récompense en harmonie, laissant ce privilège aux meilleurs élèves” - P. Boulez), se laissent pénétrer des lois de l’univers (“Prendre la fleur, regarder la fleur, sentir la fleur, devenir la fleur” - Maître Suzuki, “Le Bouddhisme Zen”) pour toujours s’enrichir de sensations nouvelles, n’inventant des outils que quand c’est nécessaire, sans ne jamais céder aux débauches techniques, aux effets racoleurs et à l’habileté. Jean-Luc Labrette est de ceux-là.
    Son amour pour le jazz et  la profonde amitié qui le lie à Jean-Pierre Chalet depuis des années l’ont conduit tout naturellement à réaliser les pochettes des disques “Musiques écrites et improvisées” et “Faaa”.
    Prix du Jury Noir et Blanc Ilford, lauréat de la Fondation Angénieux, exposant partout en France et de façon régulière à Paris et dans la région parisienne, Jean-Luc Labrettte multiplie désormais les expositions avec “Impressions... Jazz”, série inachevée de 11 tableaux présentée page suivante en diaporama dans laquelle Miles Davis apparaît comme l’ inspiration centrale.
Plan du sitePlan_du_site.htmlshapeimage_5_link_0
DiscographieDiscographie.htmlshapeimage_6_link_0
Impressions... JazzImpressions..._Jazz.htmlshapeimage_7_link_0
Trio CDLTrio_CDL.htmlshapeimage_8_link_0
FaaaFaaa.htmlshapeimage_9_link_0

Le peintre Jean-Luc Labrette - Presentation de son oeuvre

Claude LouarnClaude_Louarn.htmlshapeimage_10_link_0